L'auberge du loup blanc

Luunis, cité des Kages, calme et paix régnent en ses murs. Quiconque fait régner le désordre dans cette cité se voit bannie de la cité par les Kages eux même. Il existait pourtant un endroit ou les voyageurs et les guerriers fatigués par leur journée venaient se retrouver autour d'une chopine à raconter leurs aventures, l'auberge du loup blanc. Le tavernier, Talen et sa fille Elaïs servaient et aubergeaient les voyageurs fatigués. L'auberge était édifiée en bois de chêne. Sa porte était gravée de nombreux signes qui dit-on porteraient chance et prospérité à toute personne passant par là. Au dessus de ctte grande porte en bois se tenait l'emblème de l'auberge représentant un loup blanc. La salle quand à elle était composée de plusieurs tables rondes et de chaises permettant aux voyageurs de discuter autour d'un bon repas. Au fond de la salle se trouvait une grande cheminée en pierre avec au dessus de celle ci l'emblème des Kages.Sur le coté se tenait le comptoir de Talen et tout au fond un escalier en bois permettant d'accéder au chambres de l'auberge.

Tout était calme dans l'auberge, les hommes de la cité s'étaient tous retrouvaient pour discuter de leurs batailles, quand soudain un bruit de cheval au galop s'arretant devant l'auberge se fit entendre. Elaïs accouru pour abreuver le cheval. Puis elle voulu aider son cavalier a descendre mais il la repoussa gentillement.L'ombre se dirigea vers la grande porte de l'auberge. Elle poussa la porte et laissa entrer un vent glacial dans la salle. Son corp était recouvert d'une grande cape et une capuche cachait son visage. L'inconnue se dirigea vers la table près de la chminée et fit signe à Talen pour que celui ci lui amène un breuvage. Puis elle srupta l'auberge, tous les hommes parlaient de leurs batailles, au fond un seigneur homme qui semblait bien soul se dirigea vers elle.

- Et bien mon p'tit gars......t'as pas l'air content toi.....ca tombe biiiien mooooi non plus...

Effectivement Talen avait entendu dire que cet homme avait perdu tout son royaume et ses troupes après une grande guerre contre des orcs.

Mais soudain l'homme plongea sur l'inconnu, poignard à la main. En effet celui ci avait approché l'ombre pour découvrir la richesse qu'elle contenait.

- Tu m'as l'air bien riche, cher ami. Que dirais-tu de me donner ta bourse et je te laisserai la vie sauve.

Mais l'homme se vit projeté à l'autre bout de la pièce. L'incconu s'approcha de lui et enleva sa capuche. Le visage de Luuna, souverraine de cette cité et chef des Kages de la paix.

- Tu apprendras cher seigneur, que cette cité vit en paix et je n'accepterai pas qu'un homme comme toi fasse régner le désordre et le chaos en ces lieux. Si tu veux te battre très bien mais hors de ces murs.

L'homme appeuré courut vers les portes de la cité. Luuna alla se r'assoir à sa table et se plongea de nouveau dans ses pensées comme si rien n'était.

Le coin le plus sombre de l'auberge baignait dans une fine et froide brume. Lorsque le malotru qui s'était attaqué à Luuna s'enfuit en courant, l'étrange brume parut s'agiter. Après quelques secondes, la brume avait laissé place à la silhouette d'un vieil orc translucide. Il afficha un sourire pendant un bref instant puis se dirigea vers "l'inconnue".

-Aaah, cette chère Luuna! Cela faisait un petit bout de temps, dit Burghott en souriant chaleureusement. Je vois que comme toujours on ne peut vous aborder si grossièrement.
Le vieil orc prit un air malicieux quelques secondes avant de poursuivre.
Cela fait bien trois heures que je suis là dans ce coin... Ca fait plaisir de voir une tête connue dans l'auberge!

Luuna se retourna

- Je ne vous avez pas vu mon cher ami. Veuillez m'excuser, mes penssées envahissait mon esprit et je dois avouer que je ne prête aucune attention au reste.

Talen apporta le breuvage et de quoi nourrir Ros.

- Cela me dérange beaucoups de ne pas te voir te restaurer. Il faudra que je travaille sur ce sujet. Qui sait peut-être qu'un jour tu pourras retrouver ton corps d'origine.
Puis elle demanda à Talen de lui apportait un livre où de nombreuses inquantations elfiques étaient inscrites ci dessous.Luuna tournait la page jusqu'au moment où elle trouva enfin la page qu'elle cherchait.

- Il y a fort longtemps mon père m'avait apprit l'art de la magie. J'en suis certaine, je te rendrai ton corps.

Elle deposa une pièce à l'attention d'Elaïs et repartit aussi rapidement qu'elle était arrivée.

Avant que Luuna ne parte, Burghott la retint.

-Sachez que je ne puis reprendre mon corps, je le sais, car j'ai passé un bon temps au Paradis, assez en tout cas pour apprendre tout ce qui peut se savoir sur la magie et ses secrets. A moins que j'aie raté un gros chapitre, il est impossible de rendre son corps à un esprit revenu sur terre. Je suis désolé, vous aviez l'air si décidée...

[si je comprends bien, on a effacé mes rp ... Ros c'est toi qui a fait ca ??? ou burghott??? et ben ... je savais pas qu'on effacait le bon vouloir et les bonnes idées des kages ??? Sad

Invité

Après que Roséla soit sortie de la salle, un chevalier entra dans la salle.
Il avait de grands cheveux noir, il portant un casque d'argent ou étais gravé une flamme croisée par deux lames. Il avait sur lui plusieurs grosses plaque d'argent qui formait une magnifique armure enchanté qui lui permettait d'avoir un halo de lumière qui fesait fuir les orcs comme les gobelins. Il avait a son flanc un des deux lames jumelles (je vous conterais leurs histoire dans un autre livre.)Sa lame étais forgée dans le même que celui des lames de Morgul. Elle avait un pommo incrusté d'un Silmaril(joyaux de Feanor), la garde avait une forme arrondis et la lame étais noir comme l'esprit de son porteur.
Murthag chevalier errant et maudit par sa soeur Rose Noire.

Il s'approcha de Burghott et dit :

<<- Cher maître je ferais se qui est en mon pouvoir pour servir les Kages ! En temps de paix comme de guerre, je serais a vos cotés !Et même si il me faut mourir pour le conseil des trois je le ferait sans aucune hésitation !

Je vous serez gré d'exusé mon retard dans cette taverne mais j'eu quelque petit probleme pour trouver ... la bonne porte.

Sur ce Murthag alla s'assoir a une table et commenda un tonnelet d'hydromèle. Il attendait avec attention la réponse de Burghott ...

-Cher ami, votre enthousiasme est le bienvenu! C'est un plaisir de compter dans nos rangs des membres tellement fidèles. Mais ne vous emportez pas trop, votre mort ne nous servirait absolument à rien, alors préférez survivre que combattre jusqu'à la mort.
Sur ce, je vous quitte, j'ai des comptes à rendre de-ci de-là à travers la contrée...

Burghott adressa un franc sourire à Murthag avant de disparaître soudainement.

Invité

Murtahg se releva et se trouva seul dans la salle. Il revint a sa table et commenca son tonnelet. Il avait faim ! Alors il commenda une assiette bien remplie !Il commenca a manger ! Il sorti de sa poche un livre. Ce livre etais le journal de route de sa soeur Rose Noire. Il commenca a le lire tout en mangant et buvant son hydrimelle !

Soudain Luuna entra dans l'auberge. Elle ouvrit à grande vitsse la porte et regarda dnas toute l'aubrege comme si elle cherchait quelqu'un. Elle apperçu le seigneur Murthag et s'en approcha.

- Pardonnez moi cher ami. je recherche notre diplomate, l'airiez-vous vu?

Pendant que Luuna questionnait Murthag, Luunis en profita pour prendre en cachette une cuisse de poulet qui dépassait de l'assiette du seigneur.

Un grand fracas retenti dans les alentours proches de l'auberge. On entendait cris et hurlements non loin de la forêt bordant les lieux. La plupart des voix étaient celles d'orcs, bien que certains humains semblaient participer à ce qui ressemblait à un combat.

Quelques employés de l'auberge sortirent pour aller vérifier la source de tout ce bruit. Dans la stupeur la plus totale, ils découvrirent un spectacle horrifiant. A l'orée du bois, à quelques mètres du chemin principal menant vers l'auberge, une vingtaine d'humains combattaient deux orcs de forte stature. Partout aux pieds des combattants gisaient des cadavres, qu'on aurait pu compter par centaines, mais en réalité ce n'étaient que membres éparpillés de divers cadavres. Il devaient y avoir là quinze morts, tous humains. Ce qui était étrange, c'est que les deux orcs seuls n'auraient jamais pu faire tel carnage à eux seuls, autant rageux qu'ils puissent l'être. En effet, les deux peaux-vertes combattaient avec une ferveur plus que surnaturelle, l'un ayant déjà abandonné ses armes pour affronter les humains à mains nues, les déchiquetant comme des pourpées désartibulées. L'autre manipulait une hache de taille considérable, fauchant macabrement chaque victime à portée.

Deux orcs, contre plus de trentes hommes protégés de pieds en cap et armés très noblement. Ce n'était pas normal que tant de fiers guerriers se fassent massacrer si pitoyablement par deux orcs un peu plus musclés que la moyenne. Il devait y avoir un mage ou quelque chose qui augmentait leurs capacités...

Soudain, les deux orcs, qui vociféraient et hurlaient leur rage jusque là, s'arrêtèrent net et s'écroulèrent à terre, les yeux révulsés et la bave aux lèvres. Les guerriers hommes en profitèrent lâchement et se jetèrent sur les deux corps secoués de spasmes et continuèrent de frapper les cadavres bien après que les berserkers orcs aient rendu leur dernier soupir, si bien qu'il ne resta que des lambeaux de chair en charpie.

Le sang des combattants irrigait joyeusement le sol boueux, on eu dit qu'un mortel jardinier se serait amoureusement occupé d'arroser ses plantes macabres.

Du peu d'humains qu'il restait, on pouvait en compter neuf. Neuf silhouettes haletant, soufflant et titubant, ne pouvant plus supporter le poids oppressant de leurs riches armures de fer. Des neufs, il fallu une seconde pour que cinq tombent suite à un violent coup de vent, leur peau mortellement déchirée en divers endroits par des lames inconnues. Le coup fût si soudain qu'ils n'eurent le temps de crier, ni même de comprendre qu'ils étaient morts.
Trois nouveaux tombèrent de la même manière, cisaillés de toutes parts par un mystérieux coup de vent. Il n'en restait plus qu'un, tremblant de peur d'être également frappé par cette brise faucheuse. Alors que les secondes passaient lentement, le dernier survivant se calma peu à peu, pensant être sorti d'affaire. Soudain, une forme fantomatique, de laquelle émanait une lumière blafarde, se présenta face à lui. Un rire sinistre s'éleva avant que l'apparition ne tende une main aux doigts griffus vers la gorge du malheureux. Pétrifié, ce dernier n'osait même respirer, la peur le tétanisait. Les doigts l'aggripèrent et d'un coup sec le fantôme "arracha" l'âme de sa victime, dont le corps à présent vide s'effondra lourdement sur le sol. Atteint d'une frénésie rare, l'apparition fantômatique déchiqueta du mieux qu'elle pu l'âme qu'elle venait d'extirper, cet exercice semblant lui procurer un plaisir intense. Alors que l'âme se retrouvait déchirée en tout sens, les morceaux éparses se rassemblèrent et furent aspirés par le fantôme, qui les accueillit tel une bouffée d'air frais.

Doucement, la lueur macabre qui entourait l'apparition s'affaiblit, pour laisser voir sa véritable forme. C'était un orc, un très vieil orc....

Luuna alertée par les cris, s'approcha des murailles. Elle découvrit avec stupeur, les cadavres gisnat sur le sol. Elle descendit vers les portes et s'approcha des hommes. Leur coeur ne battait plus, mais l'un d'eux intrigua Luuna. Son corps ne possédait plus d'âme. Qui pouvait bien faire une chose si horrible. Un villageois lui raconta qu'il avait apperçu une ombre mystérieuse s'approchait du corps et dévorait son âme. Luuna avait du mal à croire cette histoire. Mais soudain elle vu cette ombre qui se tenait là, au milieu de cette hécatombe. Elle s'en approcha et par la plus grande surprise reconnut son diplomate Burghott. Les millier d'archers elfe se tenant derrière Luuna, dirigèrent leurs flèche dans la direction de l'esprit. Le général des armées ordonna aux archers de se préparer à tirer.

- Dame Luuna, écartez-vous, cet esprit est dangereux, il pourrait vous tuer. Mes hommes sont près à terrasser cette bête!

- Mon cher général, expliquez-moi comment vous allez tuer un esprit déjà mort? De plus, je suis sûr qu'il n'est pas dangereux.

Mais le géréral n'écouta pas la dame et ordonna à ses hommes de tier. Mais lorsque les flèches allaient toucher les deux compagnons, des flammes bleues les brulèrent et arretèrent leur course.

- Général je vous ordonnais quelque chose il me semble? Baissez vos armes ou je serai contrainte de brûler vos arc.

Les hommes étonaient de vois leurs flèches brûler sur le sol, baissairent leur arc.Luuna s'approcha de l'esprit.

- Alors mon cher ami. Si nous parlions. Vous ne craigniez rien. Racontez moi el mal qui ronge votre coeur.

L'esprit se tourna lentement vers Luuna. Il hésita, s'approcha d'elle, puis s'écarta brusquement et recula de quelques mètres. Il semblait très effrayé et on eu dit qu'il tremblait, pour autant que cela fusse possible pour un esprit de trembler.

Burghott tourna à nouveau son regard vers Luuna. On pouvait lire dans le regard du vieil orc beaucoup de peur et de nervosité. Il avait beaucoup de mal à rester en place. De toute évidence il était encore sous le choc de ce qu'il venait de faire. Il semblait également cacher un lourd secret en lui.

-Ma chère, ne vous approchez pas, j'ai peut-être dévoré une âme, mais je ne me sens pas encore tout à fait apaisé...Laissez-moi quelques minutes, dans l'état où je suis, je serai capable de faire encore des centaines de morts si on essaye de me calmer.

Pendant tout le temps qu'il parlait, Burghott avait détourné les yeux et regardait le sol, la boue couverte du sang qu'il avait si joyeusement fait couler. Révulsé par ces horreurs, ces cadavres désartibulés, il recula encore de plusieurs mètres, jusqu'à être sur le point de s'engloutir dans les ténêbres de la forêt.

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 27/06/2006

Attiré par toute cette agitation et le sang qui venait de couler, une ombre noire apparut derrière l'esprit.Un cri de chavel et d'ombres sortant du sol se fit entendre.Un rire démoniaque résonnait dans toute la forêt et de cette fuée épaisse sortit un cheval noir à la crainière rouge, monté d'un drown. Cet elfe n'était autre que Lancélias le frère de Luuna. depuis son dernier combat avec elle il semblait avoir gagné en force. Il tenait une garnde faue et des ombres se tenaient près de lui. Il s'approcha des restes du massacre puis ragarda l'esprit.

- Est-se-toi qui as fait ça? Mon cher tu m'intérresses.

Puis il se tourna vers Luuna et la regarda de la tête aux pieds.

- Et bien ma chère soeur, tu n'es pas heureuse de revoir ton frère? J'ai cru entendre que tu avais réussi à manipluer les flammes bleues de notre chère cité? Et je vois que tu as repris ton nom de naissance. Tout cela ets très interressant mais tu ne m'interresse pas pour l'instant. Alors mon cher ami . C'est un bien joli massacre que tu nous as fait là. Jje vois que ces meurtres ne te suffisent pas. Que dirais-tu de rejoindre les seigneurs des ténêbres. Si tu combats pour moi je te donnerai tout se dont tu peux rêver.N'écoutes pas cette soeur. Elle ne voit que la paix en ce monde. Tu ne gagnera pas de force si tu restes avec elle.

Burghott, qui était encore dans un grand état de panique, n'accorda que très peu d'importance au dénommé Lancélias. Il pensait à ce qu'il venait de faire...

"J'ai attendu trop longtemps... Beaucoup trop longtemps. Décidément je ne peux tenir plus d'un mois... Quelle misère... Allons bon! Qui est donc cet énergumène? Me joindre à lui? Du pouvoir? Il n'est rien....

-Qui donc êtes-vous pour croire que vous pourriez me commander, frêle créature? Le pouvoir ne m'intéresse plus, je l'ai atteint...

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 27/06/2006

Lancélias ricana

- Mon cher ami, regarde-toi, ton pouvoir te fait peur. Regarde ce dont un maître des ténêbres est capable.

Lancélias attrapa de ses deux mains sa faux et son cheval s'élança vers Luuna. Puis d'un geste vif mais précis il lui trancha la moitié du ventre.

-Ma chère soeur, tu me déçois beaucoup. Tu es affaliblie par tes proches. Il y a fort longtemps tu ne te serais jamais laissé prise au jeu.

Mais Lancélias découvrit avec stupeur le corps de Luuna tombait par terre puis s'évaporer en eau gelée. Au beau milieu des branchages une flèche toucha Lancélias en pleine poitrine.

-Tu me connais bien mal mon cher frère. Comme tu l'as dit je ne serai jamais tomber dans ton stupide piège. Pendant que tu questionnais mon ami Burghoot, j'ai remplacé mon corps par cette eau gelée et je suis partie me cacer dans ses arbres. Je ne pensais pas que tu tomberai si facilement dans mon piège.

Les ombres s'approchèrent de Burghott.De quelques pensées Luuna prévenue Burghott du danger

Burghott mon ami, ne fais plus aucuns pas et cache ta vue de ces flammes

Puis des flammes bleues entourèrent l'esprit et brûlèrent les ombres. Puis les mystérieuses flammes se transformèrent en glace formant une protection autour de l'esprit.

Luuna s'approcha de son frère et sortit deux lames bleues.

-Retournes dans tes enfers mon frère. Je ne te laisserai pas l'emporter.

Luuna planta les deux épées recouvertes de ces mystérieuses flammes bleues.Le souffle de Lancélias s'arreta et son corps devint feu.Les flammes rouges rentrèrent dans le sol.Luuna épuisée tomba par terre. Les flammes bleues qui protégeaient Burghott s'évaporisaient.
Luunis voyant sa maîtresse par terre accouru vers elle suivit du général et de ses hommes.Puis le général se retourna vers l'esprit et lui dit

- C'est ca que tu voulais, espèce de monstre. Tu veux que je te dise elle c'ets battu pour toi car elle avait trouvé le moyen de te rendre ton apparence vivante.Je jure par cette lame que si il lui arrive un malheur je te le fairais regre....

Mais avant que le général put finir sa phrase Luunis se je ta sur lui et mordit sa main. Puis il se dirigea vers Burghott et commenca à pleurer pour demander à cet esprit de s'approcher de sa maîtresse.

Burghott, que la remarque de Luuna avait hautement intrigué, regarda curieusement ces flammes bleues. Ses yeux picotèrent, et sa vue fût un instant troublée.

Puis Luuna tomba à terre. Burghott oublia ses quelques tracas et s'inquiéta de l'état de l'elfe. Le général lui vociféra quelques méchantes paroles, mais l'esprit n'y pris garde. Ce fût ce loup gémissant qui attira son attention.
Burghott compris que la bête voulait qu'il s'approche de sa maîtresse.

Il ne se fit pas attendre et se plaça aux côtés de Luuna. Son état était proche du coma. L'orc usa de ses pouvoirs pour lancer un puissant sort de soins. Une chaude lumière dansa autour de Luuna et de Burghott puis se concentra autour de l'elfe pour finalement entrer en elle. Tout se passa très vite, bien que la chaleur et la beauté que dégageait la lumière faisait paraître le temps plus doux et lent.

Luuna ouvrit doucement les yeux, alors que Burghott s'apprétait à lui parler.

-Je suis désolé pour tout ce qui s'est passé cette nuit, c'est entièrement ma faute, j'ai été beaucoup trop négligent. Je puis vous expliquer les raisons de ma....souffrance, mais je préférerais le faire dans un endroit où je serai assuré que personne ne nous entende.

Luuna se releva doucement et par la plus grande suprise- remarqua que plus aucunes belssures se trouvaient sur son corps. Puis elle se souvenu de se que venait de lui dire Burghott. D'une seule pensée son cheval accouru vers eux.-Suivez moi, nous serons plus tranquilles dans la forêt.Général vous restez içi, je n'ai besoin d'aucun homme avec moi, ne vous en faites pas je lui fais entièrement confiance.J'emporte avec moi mon aigle, si je rencontre un problème je vous l'enverrai, de même pour vous, prévenez moi d'un danger avec l'un de vos faucons.Je ne serai pas longue mais en aucun cas venez me déranger.

Puis Ros partit en direction de la forêt.

Elle amena Burghott dans au centre de la forêt là se trouvait les ruines de Luunis, l'ancienne cité des nobles elfes.

-Içi personne ne viendra nous déranger personne parat moi et quelques elfes connaissent l'emplaceent de cet endroit.

Amarandel entra dans l'auberge en compagnie de Luuna. Il était impatient de pouvoir manger à nouveau, chose qu'il n'avait plus fait depuis des lustres. C'était donc avec un peu d'emportement qu'il commença à manger, mais il se calma vite, se rappelant qu'il était aux côtés d'une noble elfe.

-Aaah, manger, ça je l'ai toujours regretté amèrement lorsque j'étais un esprit. C'est étrange, bien que je sois maintenant dans un corps mortel, j'ai néanmoins gardé la totalité de mes pouvoirs. Du moins à ce que j'ai pu observer.

Il regarda un instant Luuna, mais lorsque celle-ci porta son regard vers lui, il détourna maladroitement les yeux.

Luuna, génée de ce geste, pris une chaise et alla s'assoir près du seigneur. Elle ne mangeait pas beaucoups et malgré qu'elle esseyait de la cacher ses epnsées se tournaient vers Amarandel. Elle était aveuglé par la beautée et la finesse de son visage. Jamias elle n'avit eu une telle attirane pour un homme.Génée elle décida de sortir .

- Veuillez m'excuser cher ami, mais le devoir d'une chef m'appelle.

Elle salua le seigneur et se dirigea vers la fontaine à flammes bleues qui se trouvaient au beau milieu du parc de la cité. Luuna alla s'assoir sur le rebord de la fontaine et observa les étoiles. jusqu'au moment où elle entendit un bruit derrière les buissons....

Amarandel remarqua sans effort que Luuna l'observa tout le temps du repas. Il remarqua également qu'elle n'avait que très peu mangé. Cela le troublait, car il voulait également regarder Luuna, il voulait pouvoir la contempler aussi longtemps qu'il pourrait voir. Mais il n'osait la regarder, de peur de l'offusquer. Tout en trouvant cette situation insupportable de par la gêne que cela occasionnait, il ne voulait surtout pas qu'elle finisse, il voulait que Luuna reste près de lui le plus longtemps possible.

Lorsqu'elle lui annonça qu'elle devait partir, Amarandel ne dit mot. Il se contenta d'observer cette elfe sortir et se diriger vers le parc. Sans hésiter, il se leva sans même avoir fini son repas et essaya de retrouver Luuna.
Il l'aperçu, assise sur le bord de la fontaine, la tête relevée vers la voûte étoilée. Amarandel succombait sous le charme de Luuna, tellement belle dans cette soirée, dans la lumière des flammes bleues et des étoiles.
Il s'approcha lentement et lorsqu'il arriva près d'elle, Amarandel s'assit à ses côtés. Doucement, timidement, il lui prit la main et la regarda dans les yeux. Tels des gouffres merveilleux, ils aspiraient Amarandel dans une allégresse sans fin. Puis doucement, il approcha son visage de celui de Luuna, et toujours aussi doucement, il posa ses lèvres sur les siennes.

Il croyait rêver, il sentait le bonheur couler en lui comme jamais. Ce baiser, il lui semblait qu'il ne finissait jamais, il se délectait de ce moment si parfait. Il se recula délicatement et regarda à nouveau Luuna dans les yeux. Elle semblait comblée, bien que gênée. Amarandel la prit tendrement dans ses bras et l'embrassa de nouveau. Après ce deuxième moment de bonheur palpable, Amarandel pris les mains de Luuna et lui dit:

-Je sais maintenant ce qu'était ce sentiment qui grandissait en moi depuis un bon moment alors que j'étais sous forme d'esprit. Mais ce n'est vraiment que lorsque j'ai repris ma forme d'elfe que j'ai compris toute l'attirance, tout l'amour que j'ai pour vous Luuna.

Il sourit, du sourire le plus heureux qu'il ait jamais pu éprouver.

Bien que génée, Luuna ressentait un grand bonheur en elle.Elle reclula un peu et se tourna vers Amarandel.

- Vous étiez un ami, un confidant , mais depuis ce jour, où j'ai vu votre véritable visage, ce jour où vous étiez près de moi, un sentiment étrange se réveillait en moi. Je n'avais jamais ressentit une telle chose pour quelqu'un. Je vous mentirais si je vous disais que je ne ressentais rien à votre égard. Amarandel, devant cette lune magnifique je l'avoue, je ..... je vous aime.

Rassurée d'avoir enfin compris d'où provenait ce sentiment étrange qui vivait en elle et de savoir que l'homme vers qui son amour se tournait ressentait la même chose, Luuna s'approcha d'Amarandel et se blottit contre lui. Mais soudain le général, fort étonné de vois ces deux compagnons si proches, s'approcha accompagné d'un homme étrange.

- Veuillez me pardonner mais cet orc dit être le serviteur du seigneur Burghott. Il veut le rencontrer maintenant et je ne sais guère où trouver notre cher diplomate.

Amarandel rigola et s'approcha de l'orc. C'était Skragnut, l'assistant de Burghott. Arrivé près de lui, il assura au général qu'il n'y avait aucun danger.

-Alors, comment te portes-tu, Skragnut?

Le dénommé Skragnut fût fort étonné que quelqu'un ici connaisse son nom. Il dévisagea Amarandel et répondit.

-Comment tu connais mon nom toi? T'aurais pas fait du mal au chef? Parce que sinon j'te casse la tête...

Amarandel plissa les yeux de malice devant l'attitude défensive de Skragnut.

-Ne t'inquiète donc pas, Burghott et moi sommes de très grands amis, je ne lui ferais aucun mal.

-Ouais mais je t'ai vu sortir de la fumée dans la forêt et le chef il était aussi dans la fumée. Pourquoi il est pas ressorti lui aussi alors?

-Aaah ça! Burghott devait retourner au Paradis, votre dieu ne voulait plus qu'il reste sur terre. Il ne pourra plus revenir, je le crains.

-Mais comment qu'on fait nous sans l'boss?

-C'est ici que j'interviens! Burghott me faisant entière confiance, il m'a humblement demandé de prendre les rennes de sa cité. En outre, il voudrait que je devienne le nouveau seigneur, sans pour autant changer la politique établie.Et bien évidemment, tu conserveras ton poste d'adjoint. Il va sans dire que j'ai accepté sans réfléchir!

Skragnut resta sur la défensive. Cet elfe était bizarre, il lui rappelait quelqu'un mais il ne savait pas qui. Et puis, apprendre comme ça qu'il ne reverrait jamais son chef de toujours, ça lui faisait un choc. L'orc ne préféra rien répondre, préconisant une attitude de repli.

-Ah et j'y pense, je viens de me souvenir que Burghott m'avait confié une lettre avant de s'en aller. Il m'a dit qu'elle t'es confiée. Permets donc que j'aille la chercher. Je suis à toi dans une minute!

Amarandel s'inclina et fît demi-tour pour courir vers l'auberge. Sitôt arrivé, il s'assura d'être à l'abris des regards, trouva un parchemin, une plume et une table et se mit à rédiger une brève missive à l'attention de Skragnut. Il signa de la main de Burghott et pris le soin de sceller magiquement le parchemin à la manière du vieil orc, histoire que Skragnut soit en confiance. Il revint rapidement et tendit aimablement le bout de parchemin à Skragnut.

-Voici cette fameuse lettre. Je crois que c'est scellé pour que seul toi puisse l'ouvrir.

Skragnut prit poliment le parchemin, se recula légèrement et renifla méticuleusement la lettre. Après quelques secondes, il afficha un air satisfait et lu le texte en vitesse. Il sourit un instant puis releva la tête vers Amarandel.

-C'est bien l'chef qui a écrit ça. Et ya qu'lui qui donne une si bonne odeur à sa magie farfelue. Maintenant j'suis sûr que t'es pas un vilain, je te fais confiance, elfe!

-Je me nomme Amarandel, ravit qu'on puisse s'entendre. Maintenant file prévenir le royaume de mon arrivée, je veux que mes orcs soient au courant qu'un nouveau chef arrive.

Skragnut s'inclina et parti au pas de course. Toujours dans le doute, il était de plus en plus perplexe. Seul Burghott disait "mes orcs". Tout dans ce sylvanien évoquait des souvenirs à Skragnut: le maintien, la façon de parler, les sourires, le regard, ...
Il décida de ne plus y penser et accéléra; les autres devaient être mis au courant le plus vite possible.
Lorsque l'orc fût hors de vue, Amarandel revint près de Luuna, tout en demandant au général de se retirer.

-Nous ne risquons rien, vous pouvez vous retirer. Ce n'est pas moi qui ferai du mal à Dame Luuna.

Le général regarda soupçonneusement Amarandel puis s'éclipsa sans opposition.
Amarandel se retourna vers Luuna et la pris amoureusement contre lui.

Luuna restait blottit contre Amarandel, mais soudain des pensées hantèrent son esprit. La vue des meurtriers de sa famille. Ses visiosn étaient si fortes que Luuna se jeta par terre les mains tenant sa tête. Ses cris arlertaient tous ses hommes qui couraient à son secours. Un vieux sage qui connaissait très bien Luuna se mit à ses cotés et lui murmura des mots dans l'oreille. Par miracle les visions se calmèrent.

- Raconte moi tout Luuna, qu'as tu vu?

Luuna repris ses esprits et raconta tout au sage.

- Des hommes, tous vétus de noir. des lames recouvertes de sang. Des pleurs le feu. Sage c'était eux. Je dois les retrouver!

Luuna se retourna vers Amarandel.

- Veuillez m'excuser seigneur Amarandel, mes le devoir m'appelle.

Luuna aurait bien voulu rester avec lui mais beaucoups trop de monde était autour d'eux et ses visions remplissaient son esprit de haine soudaine. Elle monta son cheval et partit en direction des montagnes, accompagnée de son loup et de son aigle.

Le sage observa Amarandel et avait compris se qui venait de se passer.

-Ses hommes, se sont eux qui ont tué sa famille. Elle dois les tuer pour retrouver l'honneur de sa famille. Je pense qu'il vaudrait mieux que tu sois à ses cotés.

Le sage fit un grand sourir à Amarandel puis avec un petit rire moqueur il retourna près de ses livres.

Amarandel resta quelques secondes sur place, hésitant de rejoindre Luuna, mais il ne mit pas beaucoup de temps avant de se lancer sur ses traces. Il courut une courte période avant de rejoindre Luuna qui dévalait le territoire au pas de course avec ses compagnons.

-J'ai décidé de t'aider dans ta tâche. Que tu l'acceptes ou pas, je combattrai à tes côtés. Je t'aime, et je ne te laisserai pas affronter seule des ennemis!